Compte-rendu de la rencontre avec Mme Christine Boutin
Compte-rendu de la rencontre avec Madame Christine Boutin
Conseillère générale du canton de Rambouillet
Permanence parlementaire de Rambouillet
20 septembre 2011
En premier lieu Madame Boutin nous demande de se présenter pour savoir à quel titre on la rencontre, élus du personnel ou comité de soutien, ce que nous lui précisons facilement.
Mme Boutin nous confirme que la Bergerie Nationale intéresse tous les Rambolitains et à ce titre elle aussi.
Nous lui faisons l’historique des événements, réunion avec le préfet et travail pour un projet commun avec les 4 groupes de travail, en attente d’une nouvelle rencontre à cause des élections sénatoriales de fin septembre en insistant sur le projet d’Etablissement Public Local autonome. Nous lui faisons part aussi de l’appui certain de la population rambolitaine (entre autres) par le nombre de signatures de la pétition, et la création du comité de soutien "BN for ever".
Nous en venons enfin au sujet de la présence de l’Université de St Quentin-en-Yvelines et de son département REEDS et nous interrogeons Mme Boutin sur la cohérence des formations de l’IUT de Rambouillet avec celles portées par le projet de la Bergerie.
Justement Mme Boutin s’inquiète de la non communication avec l’IUT et nous conseille d’en rencontrer les responsables rapidement. Nous lui rappelons qu’il est indispensable de faire évoluer les statuts de la Bergerie Nationale pour la création d’un campus universitaire ; elle nous pose la question de savoir si la région est demandeuse de ce projet, question à laquelle nous n’avons pas de réponse non plus.
Nous lui relatons l’inquiétude des personnels sur l’installation de l’IUT de Rambouillet dans les locaux de la barre du bas (actuellement occupé par le Centre de Formation pour Apprentis de la Bergerie). Madame Boutin nous assure de son soutien comme depuis longtemps déjà et exprime de l’admiration devant la patience des personnels, mais pense que tout vient d’un manque de communication à laquelle il faut très vite remédier car l’état n’a plus d’argent et plus on attend pire ce sera.
Elle avoue même que nous pourrions comme les haras voir disparaître la Bergerie Nationale, dans un avenir plus ou moins lointain.
Nous lui rappelons que des problèmes politiques de la présidence de l’Université de St Quentin-en-Yvelines entrave l’avancée de notre projet. Elle y voit là de la maladresse plus que de la mauvaise volonté ; il faut créer un climat de confiance pour pouvoir discuter et repartir sur de bonnes bases et partager le projet. Elle nous propose d’intercéder pour nous prés du Préfet qui est très compréhensif, pour faire avancer le dossier.
Pour clore le débat nous lui présentons l’article de presse des Nouvelles de Rambouillet dans lequel M. O’Connor espère un accord dans les 3 mois, article citant la Bergerie Nationale sans que personne n’ait été contacté avant la rédaction. Elle nous conseille de nous mettre en relation avec le journaliste.
Voir aussi les autres articles de presse du 14 septembre 2011 : clic !